Votre nouveau-né va porter des couches bébé de la naissance jusqu’à l’apprentissage de la propreté. C’est le seul produit qui sera en contact permanent avec sa peau fragile et perméable pendant presque 3 ans. C’est donc un produit super important. Mais choisir la bonne couche bébé n’est pas si simple. L’offre est vaste et parfois peu transparente. Pour vous aider, on vous explique les critères à prendre en compte pour faire un choix en toute connaissance de cause. Comment choisir les bonnes couches pour votre tout-petit ? Comment décrypter les compositions sur les paquets ? Que penser des labels ? Suivez notre super guide complet, par des parents pour des parents J
Critère #1 : une couche bébé saine
Pour comprendre pourquoi il s’agit du premier critère de choix, il faut revenir sur l’alerte, lancée en 2017 et 2018, par le magazine français 60 millions de consommateurs concernant la présence de substances toxiques et de perturbateurs endocriniens dans la très grande majorité des couches pour bébés. L’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire) est alors sollicitée par le gouvernement pour conduire une analyse des risques liés à la présence de ces substances dans les couches à usage unique. En 2019, elle publie un rapport sévère qui confirme la présence de substances chimiques en dépassements de seuils sanitaires. Celles-ci contiennent des dioxines, furanes, PCB, formaldéhyde et hydrocarbures aromatiques (HAP) qui sont considérées comme des substances allergisantes, reprotoxiques, cancérigènes et dangereuses pour la santé des bébés. Les références concernées sont les couches jetables présentes en grande surface y compris les marques de distributeurs et certaines couches écologiques.
La présence de ces substances indésirables dans les couches s’explique par le choix des matières premières plus ou moins qualitatives mais aussi par le choix des procédés de fabrication. Plus précisément, ces substances peuvent soit être formées lors des étapes comme le blanchiment ou le collage, qui implique du chauffage à haute température (ex : dioxines, furanes et PCB), soit être ajoutées intentionnellement comme les substances parfumantes (ex : lotion, parfum), soit résulter d’une contamination des matières premières à la source (ex : pesticides et composés organiques volatils). L’utilisation de certains pigments ou colorants pour le côté esthétique peut aussi être à l’origine de la formation de dioxines.
Il n’existe aucune réglementation sur les couches que ce soit en France ou dans les autres pays européens. L’Anses a donc pour l’instant seulement émis des recommandations à destination des fabricants qui portent à la fois sur une meilleure sélection des matières premières et sur un meilleur contrôle des procédés de fabrication soit :
- Le passage à la pâte TCF (Totally Chlorine Free) pour éviter la formation de dioxines et de furanes chlorés
- La suppression des substances parfumantes qui peuvent causer des allergies
- La suppression ou substitution des indicateurs d’humidité pour éviter la formation de HAP
- La suppression ou substitution des colorants pour éviter la formation de dioxines
- Un meilleur contrôle de la qualité des matières premières pour éviter leur contamination à la source par des pesticides ou des COV (composés organiques volatils)
- Le contrôle accru des températures lors des phases de collage pour éviter la formation de dioxines, furanes et PCB
- Pour le formaldéhyde, l’Anses n’a pas été en mesure d’identifier la source de contamination.
Une fois que l’on a sait tout cela, on comprend un peu mieux comment choisir une couche saine pour son bébé. C’est parti !
Choisir des couches TCF
Aujourd’hui, plus aucune couche n’est blanchie au chlore élémentaire. En revanche, certains processus de blanchiment utilisent des dérivés de chlore comme le dioxyde de chlore qui peuvent être à l’origine de la formation de dioxines et de furanes selon une méthode appelée ECF (Elementary Chlorine Free). Les dérivés de chlore diminuent la quantité de produits chlorés mais ne les éliminent pas. Il faut donc veiller à choisir des couches blanchies sans chlore ET sans dioxyde de chlore selon la méthode appelée TCF (Totally Chlorine Free) à l’eau oxygénée, pour éviter tout risque.
A l’heure actuelle, seulement 5% des couches sont blanchies en utilisant la méthode TCF selon l’Anses ! C’est pour cela que l’Anses a retrouvé des dioxines et des furanes dans la quasi-totalité des couches du marché. Si vous ne voyez aucune mention ou logo TCF mais seulement la mention « blanchies sans chlore élémentaire » ou « blanchies sans chlore », c’est que les couches ont malheureusement été blanchies avec du dioxyde de chlore.
Choisir des couches sans parfum et sans lotion
Certaines marques ajoutent des substances parfumantes comme les parfums ou lotion pour soi-disant protéger ou hydrater la peau de bébé. Or le parfum, que ce soit dans les couches ou les produits cosmétiques, est recensé comme allergène de contact reconnu et problématique par le comité scientifique pour la sécurité des consommateurs (SCCS).
Quant aux lotions, elles sont composées de petrolatum (vaseline utilisée comme barrière protectrice), d’alcool stéarylique (émollient utilisé pour ses propriétés hydratantes), de paraffinum liquidum (huile de paraffine utilisée comme barrière protectrice) voire d’extraits d’Aloe barbadensis (Aloé Vera utilisée pour ses propriétés adoucissantes). Outre le fait que certains de ces composants sont d’origine pétrochimique, ils sont surtout potentiellement nocifs car allergisants et irritants pour la peau de bébé.
Choisir des couches sans indicateur d’humidité
L’indicateur d’humidité est une bandelette pH de couleur jaune qui réagit au contact de l’urine et devient bleue. Sa présence peut entraîner la formation de HAP selon l’Anses.
Par ailleurs, l’indicateur d’humidité n’est pas du tout essentiel à la bonne utilisation d’une couche pour bébé. Les sages-femmes et les pédiatres recommandent en effet de changer bébé à chaque biberon ou tétée et dès que la couche est souillée par les selles, mais pas à chaque pipi !
Pour savoir si une couche est pleine, il suffit d’utiliser la technique de papa Simon.
Choisir des couches sans colorants
Les colorants peuvent être à l’origine de la formation de dioxines. Vérifiez donc bien que la composition précise leur absence.
Les encres avec lesquelles sont imprimés les motifs sur l’enveloppe extérieure de la couche doivent être à l’eau et sans solvants pour éviter la présence de métaux lourds.
Choisir des couches avec des matières premières de qualité
Plus les matières premières choisies sont de qualité et moins il y a de risques qu’elles soient contaminées à la source lors de leur culture. Ces contaminations comprennent les pesticides (comme le glyphosate) ou les résidus toxiques présents dans l’environnement (comme les COV), même à l’état de traces. C’est un élément qui ne figure pas sur les compositions mais que vous pouvez vérifier en consultant les rapports d’analyse chimique.
A titre d’exemple, chez koosh, nous utilisons de la cellulose provenant de forêts finlandaises, les plus pures au monde grâce à l’absence totale de cultures aux alentours pouvant avoir recours aux pesticides.
Choisir des couches dont la fabrication est irréprochable
Peu d’informations sont communiquées à ce sujet mais la très grande majorité des couches sont collées à des températures élevées, ce qui peut entraîner la formation de dioxines, de furanes et de PCB. Là encore, n’hésitez pas à consulter les rapports d’analyse chimique. L’usine française située dans les Vosges dans laquelle nous produisons nos couches koosh est la seule usine, à l’heure actuelle, à utiliser un collage basse température, inférieur de 20 à 30 degrés à la moyenne afin d’éviter la formation de ces substances toxiques.
Selon l’Anses, la formation de résidus toxiques peut également provenir des étapes de nettoyage sur les lignes de production. Notre usine dans les Vosges fait particulièrement attention à n’utiliser que des produits d’entretiens doux et non polluants pour éviter toute contamination des matières premières. Elle utilise même une peinture alimentaire spéciale au sol pour éviter la migration de COV sur les couches : ainsi dans nos couches koosh, il y a 834 fois moins de COV que dans l’air ambiant d’une chambre de bébé !
Que penser des labels ?
Toutes les couches sont aujourd’hui testées sous contrôle dermatologique et sont hypoallergéniques ce qui, vous l’aurez compris, n’est en rien une garantie de qualité. Quant à la mention « non testées sur les animaux », elle n’a pas lieu d’être sur un produit comme la couche qui ne contient que du non-tissé. C’est une mention qui est destinée aux produits cosmétiques uniquement mais qui ne s’applique même pas en Europe puisque les tests sur les animaux sont interdits par la réglementation européenne depuis 2013 !
Il existe cependant un certain nombre de labels qui peuvent servir de guide même s’ils ne garantissent pas toujours l’absence de produits chimiques. On fait le tri entre les labels qui apportent quelque chose et ceux qui n’aident pas vraiment à faire un choix.
Créé en 2014, l’Écolabel européen distingue les produits engagés dans la réduction de l’impact sur l’environnement tout au long du cycle de vie, la réduction des substances chimiques dangereuses et la réalisation de tests de qualité. C’est le seul label à l’échelle européenne. Malheureusement, l’Anses a retrouvé des résidus toxiques dans certaines couches labellisées Écolabel.
Créé en 1978, le label Nordic Swan, très répandu dans les pays nordiques (Islande, Suède, Norvège, Danemark, Finlande), distingue les produits les plus respectueux de l’environnement via plusieurs critères concernant les matières premières utilisées et les processus de fabrication. Là aussi, des substances toxiques ont été détectées par l’Anses dans des certaines couches labellisées Nordic Swan.
Crée en 1992, le label STANDARD 100 by OEKO-TEX® certifie que le produit ne contient pas de substances toxiques. C’est un label à prendre avec des pincettes puisqu’il a certifié plusieurs marques pour lesquelles 60 millions de consommateurs et l’Anses ont retrouvé des résidus toxiques. La version « Made in Green» du label indique en plus que les produits sont fabriqués dans le respect de l’environnement et des conditions de travail.
Créé en 1973, le label Seal of Cotton distingue les produits qui contiennent un minimum de 15% de coton. L’Anses a retrouvé des résidus toxiques pour certaines couches labellisées Seal of Cotton dont l’enveloppe extérieure est un mélange de 15% de coton et de 85% de polyéthylène et / ou polypropylène.
L’association CFPA (Chlorine Free Products Association) propose plusieurs labels qui certifient que les produits sont blanchis sans chlore ni dioxyde de chlore. Il s’agit des labels TCF (Totally Chlorine Free), PCF (Processed Chlorine Free) et SI (Sustainability Index). Avoir un de ces labels est indispensable pour garantir l’absence de dioxines et de furanes.
Créé en 1978, le label allemand Dermatest réalise des tests de tolérance cutanée. Pertinent pour les produits cosmétiques, il présente peu d’intérêt pour les couches car celles-ci sont toutes testées dermatologiquement avant leur mise sur le marché ce qui n’est d’ailleurs en rien un gage de qualité.
Créé en 1993, le label FSC (Forest Stewardship Council) est un label mondial qui garantit que les matières sont issues de forêts gérées durablement. Un grand nombre de couches sont aujourd’hui labelisées FSC.
En définitive, certains labels sont intéressants mais ne dispensent en rien de consulter la composition et les résultats des analyses chimiques ! Si la composition n’est pas indiquée ou s’il n’y a pas de rapport d’analyse chimique, ce n’est pas très bon signe.
Critère #2 : une couche bébé ultra douce et confortable
Une couche saine pour bébé, c’est la première chose à valider. Cela vous permettra d’éviter les irritations, rougeurs et érythème fessier. Mais en tant que parents, on a aussi envie qu’elle soit la plus confortable possible pour sa peau sensible. Pour ce faire, privilégiez les couches qui contiennent le plus possible de matières naturelles surtout pour les parties qui sont en contact avec la peau, à savoir le voile de contact et les barrières anti-fuites. En effet, les matières naturelles comme l’amidon de maïs et la canne à sucre sont beaucoup plus douces pour les fesses de bébé que des matières premières d’origine pétrochimique comme le polypropylène ou polyéthylène (aka matières plastiques) qui sont utilisées dans la quasi-totalité des couches. Elles sont aussi plus saines puisque du HAP, un polluant industriel issu du plastique a été retrouvé dans certaines références de couches par l’Anses. Lisez donc bien les étiquettes sur la composition des couches.
Chez koosh en tant que parents, nous sommes contents d’avoir lancé les premières couches avec un voile de contact et des barrières anti-fuites 100% d’origine naturelle à base de canne à sucre et d’amidon de maïs. C’est mieux pour la peau des nourrissons mais aussi pour l’environnement.
Critère #3 : une couche bébé super absorbante de jour comme de nuit
Devoir gérer des fuites en permanence, c’est assez frustrant. Et puis la fonction première d’une couche, c’est quand même d’absorber. L’absorption d’une couche jetable est assurée par ce que l’on appelle le tampon, c’est-à-dire le couple cellulose / SAP. La cellulose est une matière naturelle issue du bois. Le SAP est un polyacrylate de sodium plus ou moins réticulé d’origine synthétique. A l’œil nu, c’est soit une poudre blanche (diamètre entre 100 et 800 µm) lorsque la réticulation est faible soit de minuscules billes lorsque la réticulation est forte. En présence d’eau, le SAP absorbe et se transforme en gel mou et déformable. Selon EDANA, la principale association mondiale des non-tissés, il peut absorber jusqu’à 300 fois son poids en eau. Il n’existe pas encore d’alternative naturelle.
Il y a 3 facteurs qui expliquent les différences d’absorption entre les couches :
- La proportion de cellulose par rapport au SAP
- La qualité de la cellulose et des grains de SAP
- La technique de propulsion du SAP dans la cellulose
La proportion de cellulose par rapport au SAP
Depuis les années 1980, les couches sont de plus en plus fines. En effet, le poids moyen est passé de 64,6 g à la fin des années 80 à 33,3 g en 2013, soit une diminution de 50% en 25 ans ! La quantité de cellulose est passée de 52,8 g/couche à 9,1 g/couche alors que la quantité de SAP a très fortement augmenté en passant de 0,7 g/couche à 12,6 g/couche.
Les couches écologiques, qui cherchent à diminuer les matières synthétiques et donc le SAP, se sont retrouvées avec un problème d’absorption insuffisante, chose qui leur est encore parfois reprochée aujourd’hui. Pour pallier ce problème, chez koosh, nous mettons plus de cellulose naturelle que n’importe quelle couche. Nos couches sont donc à la fois aussi absorbantes que les couches traditionnelles du marché (si ce n’est plus comme on va le voir après) mais aussi plus naturelles grâce à la proportion élevée de cellulose utilisée.
La qualité de la cellulose et des grains de SAP
Plus la cellulose est de qualité, c’est-à-dire pure sans traces de pesticides, et mieux elle absorbe. Quant aux grains de SAP, tout est une question de réticulation. Plus les grains sont fins et mieux ils absorbent.
C’est pour ces raisons que nous utilisons dans nos couches une proportion élevée de cellulose de très bonne qualité, qui retient mieux l’humidité, et des grains de SAP plus fins qui favorisent l’absorption.
La technique de propulsion du SAP dans la cellulose
Là, on rentre dans les secrets de fabrication, donc on n’en dira pas trop si ce n’est que l’on utilise une technique particulière de propulsion du SAP dans la cellulose qui répartit plus uniformément les urines dans la couche et évite l’effet paquet et l’effet mouillé.
Pour vous en dire quand même un peu plus, il existe aujourd’hui 2 techniques de propulsion du SAP dans la cellulose : anatomique et à canaux. Avec la technique anatomique, la cellulose est présente en grande quantité et entoure le SAP comme dans un sandwich. Avec la technique à canaux, il y a très peu de cellulose et le SAP est répartit en 3 canaux.
La technique via 3 canaux est aujourd’hui celle qui est la plus utilisée pour des raisons de coûts : moins de cellulose utilisée donc moins de matière et une vitesse de production 2 fois plus rapide que pour la technique anatomique. Mais elle est beaucoup moins bien pour les fesses de nos bébés à plusieurs égards :
- Une absorption moins bonne : le SAP peut absorber jusqu’à 300 fois son poids en eau à condition de lui laisser le temps de le faire. Dans un change à canaux, l’absorption est trop rapide (quasi instantanée) puisqu’il y a très peu de cellulose pour faire tampon. Résultat ? Elle sature vite c’est-à-dire que les grains de SAP ne se remplissent pas au maximum. Au contraire, dans un change anatomique, l’absorption est plus lente ce qui permet de laisser le temps aux grains de SAP d’atteindre leur pleine capacité d’absorption.
- Un effet mouillé : la cellulose joue un rôle de tampon ou barrière entre la peau de bébé et le SAP. Dans un change à canaux, comme elle est très peu présente, la peau de bébé se retrouve presque en contact direct avec le SAP au moment de l’absorption qui en plus, comme on l’a vu, n’est pas maximale. Résultat ? Elle n’est jamais parfaitement au sec ce qui favorise les fesses rouges, les irritations, l’érythème fessier et les odeurs. C’est d’ailleurs pour cette raison que les changes à canaux contiennent parfois des lotions (allergisantes) qui sont rajoutées pour camoufler les odeurs et protéger la peau de bébé. Grâce à la cellulose, ce n’est pas nécessaire dans un change anatomique.
- un effet paquet : en plus de son rôle de tampon, la cellulose permet de drainer les liquides vers le SAP. Dans un change à canaux, cette fonction de drainage se fait moins bien en raison du manque de cellulose. Résultat ? Les canaux gonflent au moment de l’absorption en formant une poche qui pend aux fesses des bébés, ce que l’on appelle l’effet « paquet ». Dans un change anatomique, la cellulose permet de répartir uniformément les liquides dans la couche.
Pour vous rendre compte de tout cela, le mieux c’est d’essayer. C’est pour cette raison que nous avons mis en place la possibilité de tester un paquet entier de nos supers couches, correspondant au besoin d’un nouveau-né pour environ 3 ou 4 jours. Un temps suffisant pour tester tout type de situation J
Critère #4 : une couche bébé la plus respectueuse possible de l‘environnement
Le confort de bébé est la priorité mais quand on devient parents, on prend aussi conscience de l’importance de laisser une planète propre à nos enfants. N’hésitez pas à privilégier les couches qui contiennent un maximum de matières d’origine renouvelable et qui sont fabriquées en France. Préférez également les emballages composés de matières recyclées.
Sachez qu’il n’existe pas de couches bio. Le terme « bio » signifie « issu de l’agriculture biologique ». Tout au plus, une couche contient une ou plusieurs matières premières d’origine végétale issues de l’agriculture biologique. Aucune couche n’est biodégradable. Même les couches écologiques contiennent encore des matières d’origine synthétique pour lesquelles il n’existe pas encore d’alternative naturelle.
Notre usine dans les Vosges apporte une attention particulière à l’environnement. Elle revalorise 99% de ses déchets (bois, ferraille, plastique, etc…) soit en les recyclant, soit en les reconditionnant pour leur donner une seconde vie. Elle utilise de l’énergie verte et ne consomme pas d’eau pour sa production.
Critère #5 : une couche bébé à un prix accessible, ça existe ?
Les couches représentent la plus grosse partie du budget hygiène pour bébé alors, même si en tant que parents on recherche la meilleure qualité pour son enfant, le prix reste un critère important. Des couches de qualité qui répondent aux critères cités sont évidemment plus chères (mais pas beaucoup plus).
Pour bien comparer, il est important de regarder le prix à la couche et non pas le prix d’un paquet ou le prix d’un abonnement car le nombre de couches qui sont inclues varie significativement d’une marque à une autre. Si vous optez pour un système d’abonnement, regardez le prix à la couche sur toutes les tailles et pas seulement sur les premières. Pourquoi ça ? Et bien parce que les tailles 1 et 2 sont très peu portées alors que les tailles 3, 4 et 5 représentent 85% de ce que vous allez consommer.
Chez koosh, en tant que parents, il était important de proposer une très bonne qualité à un prix le plus accessible possible pour qu’un grand nombre de parents puissent en bénéficier. Alors on a trouvé tout un système pour rendre ça possible :
- Tous nos produits sont vendus exclusivement sur notre site sans intermédiaires, afin de pouvoir les proposer au prix juste
- On a fait le choix de les vendre uniquement par abonnement pour offrir la meilleure qualité au meilleur prix
- On a créé le seul prix qui baisse : plus vous ajoutez de produits additionnels à votre abonnement, plus le prix unitaire de la couche diminue (et de beaucoup). Cela vous permet d’utiliser des couches mais aussi des produits d’hygiène de qualité tout en faisant un peu d’économies.
Conclusion
On espère que vous y voyez maintenant plus clair sur les couches pour bébé. Lorsque nous avons lancé koosh quelques mois après la naissance de Robyn, la polémique venait d’éclater et en tant que jeunes parents, on était un peu inquiets. Alors on n’a rien voulu laisser au hasard. Si vous souhaitez tester un paquet de nos supers couches koosh livré gratuitement et sans engagement, c’est par ici !
Article écrit par Andrea, fondatrice de koosh et maman de Robyn et Maxine, illustré par Pierre, papa artiste